C'est le coeur qui lâche en dernier de Margaret Atwood Pavillons, Robert Laffont 2017, 450 pages Traduit de l’anglais (Canada) par Michèle Albaret-Maatsch Dans un futur tout proche (si proche), la crise économique a à ce point dévasté la société... Lire la suite →
Au pied de la lettre d’Isabelle Minière Serge Safran éditeur 2017, 226 pages « Parfois j’ai tellement envie qu’on me comprenne que j’imagine qu’on me comprend, ça me rassure, je dors mieux après. Et même si je ne dors pas, l’insomnie... Lire la suite →
Ör d’Audur Ava Ölafsdsottir Zulma, 2017, 236 pages Traduit de l’islandais par Catherine Eyjolfsson Une fois qu’on a goûté à la fantaisie d’Audur Ava Ölafsdöttir (c’est son cinquième roman traduit en français), on y revient forcément - dont acte. Elle... Lire la suite →
L’Homme de l’hiver de Peter Geye Actes Sud 2017, 360 pages Traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Anne Rabinovitch (Wintering 2016) « Certaines personnes la jugeaient folle. D’autres - celles qui la connaissaient de longue date - disaient folle à lier. » Richard... Lire la suite →
Notre vie dans les forêts de Marie Darrieussecq P.O.L. 2017, 189 pages Une femme, mal en point, écrit sur un cahier avec un crayon. Elle s’est échappée, a « disparu » de la société dans laquelle elle vivait. Elle a rejoint un... Lire la suite →
Eleanor Oliphant va très bien de Gail Honeyman Fleuve éditions 2017, 430 pages Traduit de l’anglais (Ecosse) par Aline Azoulay-Pacvon (Eleanor Oliphant Is Completely Fine 2017) Eleanor Oliphant a trente ans, travaille toujours dans ce qui a été son... Lire la suite →
David Bowie n’est pas mort de Sonia David Robert Laffont 2017, 174 pages « Ce n’est pas pour rien qu’on s’attache aux symboles. Parfois, ils savent si bien dominer la réalité. » Quand j’ai vu passer les Matchs de la rentrée... Lire la suite →
La cinquième saison de N.K. Jemisin Les livres de la terre fracturée 1. J’ai lu collection Nouveaux Millénaires 2017, 457 pages Traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Michelle Charrier (The Fifth Season Broken Earth 1, 2015) « Ne te retourne pas, conseille-t-il.... Lire la suite →
Réveiller les lions d’Ayelet Gundar-Goshen Les Presses de la Cité 2017, 413 pages Traduit de l’hébreu par Laurence Sendrowicz Ethan est neurochirugien. Exilé dans un obscur village dans le désert israélien pour avoir voulu dénoncer la corruption de son chef,... Lire la suite →
Le diable en personne de Peter Farris Gallmeister 2017, collection NEO NOIR, 266 pages Traduit de l’anglais (USA) par Anatole Pons (Ghost in the Fields 2017) Maya en sait trop, elle doit être éliminée. Deux sous-fifres l’emmènent dans le coffre... Lire la suite →
Hérésies glorieuses de Lisa McInerney Joëlle Losfeld éditions 2017, 452 pages (Magnifiquement) traduit de l’anglais (Irlande) par Catherine Richard-Mas (The Glorious Heresies) C’est un premier roman, et c’est le genre de premier roman qui donne envie que son autrice... Lire la suite →
188 mètres sous Berlin de Magdalena Parys Agullo 2017, 375 pages Traduit du polonais par Margot Carlier et Caroline Raszka-Dewez (Tunel 2011) « Les petits soucis n’avaient pas leur place ici, chacun avait ses gros problèmes. » On entre dans ce roman... Lire la suite →
Le pianiste blessé de Maria Ernestam Gaïa éditions, 2017, 416 pages Traduit du suédois par Anne Karila « Je reste debout à la fenêtre. Une membrane de verre entre moi et le monde. Je songe à ces éclairs de lucidité... Lire la suite →
La Fille à la voiture rouge de Philippe Vilain Grasset 2017, 250 pages En 2011*, Philippe Vilain décortiquait la différence de classe sociale dans le couple. En 2017 Il s’attaque à la différence d’âge, avec moins de vivacité me semble-t-il.... Lire la suite →
Miss Wyoming de Douglas Coupland Au Diable Vauvert 2017, 404 pages Traduit de l’anglais (Canada) par Walter Gripp (Miss Wyoming 2000) « John avait appris au moins une chose pendant son absence : la solitude était le sujet le plus tabou... Lire la suite →
Commentaires récents