Garonne – Fanny Brucker
JC Lattès, 2012, 329 pages
« Du haut de ses cinq ans, celle-ci usait parfois d’un langage ordurier, et de manières qui témoignaient d’un univers jugé par cette dernière appauvrissant. « Fais chier, disait-elle en jetant une Barbie contre un mur, cette poufiasse a les cheveux plus longs que moi.« »
Ca, c’est Manu, elle a la quarantaine quand on la rencontre, et si ses manières ne se sont en rien améliorées, c’est pour notre plus grand plaisir ! Imaginez : Manu est la toute nouvelle patronne d’une agence de jeunes filles au pair, qu’elle a racheté à « Twix » (Madame Debarre…) en se faisant un tout petit peu abuser (elle le dit autrement ;)). Ne parlant qu’un français fleuri, elle embauche Garonne, une cigale cinquantenaire trilingue qui est tout étonnée d’occuper pour la première fois de sa vie un poste fixe. Et c’est le quotidien de cette agence (un univers passionnant !) que le lecteur est invité à partager, avec un final réjouissant comme tout (et un poil fleur bleue) dans une Irlande qu’il me démange sérieusement d’aller voir de plus près… Un roman dynamique et drôle fort bien troussé, qui m’a donné le sourire ! Merci Cathulu.
26 septembre 2013 at 06:41
J’attends avec impatience un nouveau roman de cette auteure !:)
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26 septembre 2013 at 06:44
C’est marrant parce que j’avais abandonné son premier et là je me suis bidonnée tout du long (c’est laid cette expression mais c’est la mienne^^), alors oui, vivement le prochain ! 🙂
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26 septembre 2013 at 07:07
Les « 3 C », moi j’ajouterais les 3 Calamiteuses !!!! Ma LAL et ma frustration a ont beaucoup augmenté depuis que je vous connais ;-(
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26 septembre 2013 at 07:07
Tu nous fends le coeur, Aifelle 😉
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26 septembre 2013 at 07:08
PS. Bon, soyons honnête, j’ai fait de belles découvertes aussi 🙂
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26 septembre 2013 at 07:08
Bon je range mon kleenex, alors 😉
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26 septembre 2013 at 07:55
Mon dieu, ton titre, ton titre !
Ma vie résumée en une phrase !
Cet argument suffisait pour me donner envie de lire ce roman :o)
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26 septembre 2013 at 08:08
Au moins une qui entend la référence alors 🙂 🙂
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26 septembre 2013 at 10:27
Y a-t-il encore des gens qui n’entendraient pas la référence ?
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26 septembre 2013 at 10:30
Incredible but true : mon propre fils n’a aucune idée de ce qui me fait rire dans cette phrase. J’ai raté son éducation. (Et maintenant je me demande si Erzie ne faisait pas plutôt allusion au titre sous la couv…)
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26 septembre 2013 at 08:13
Je n’avais pas aimé « ils diront d’elle » du coup, je n’ai pu celui-ci.. une erreur à réparer de toute urgence!
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26 septembre 2013 at 08:16
Comme moi 😉
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26 septembre 2013 at 08:19
Mouhahaha Marie-Thérèse (j’entends son accent d’ici, j’vous jure madame), bref… tentant tout ça et en plus le titre me sied 🙂
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26 septembre 2013 at 08:19
🙂 🙂
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26 septembre 2013 at 11:53
Tentée j’étais, jusqu’à ce que je relise le nom de l’auteur, Fanny Bruckner, ah, mais oui, c’est elle dont le « Far-ouest » ne m’avait pas convaincue…
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26 septembre 2013 at 12:03
Et donc tu ne crois pas au concept de nouvelle chance ? 🙂
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26 septembre 2013 at 12:06
Ah, mais elle a réponse à tout, c’te bougresse (c’est gentil, chez moi, « bougresse » ;)) !
OK, tu as raison : je tenterai si je le trouve en bibli !
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26 septembre 2013 at 12:07
🙂 🙂 🙂
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26 septembre 2013 at 16:27
Moi je tenterais bien s’il était dans une bibli pas loin de chez moi (aucun de ses romans n’est paru en poche), mais a priori ce n’est pas le cas. 😦
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26 septembre 2013 at 18:15
Mais oui, c’est vrai, tiens, aucun n’est sorti en poche ! Je ne sais d’ailleurs pas quels sont les critères de sortie en poche ?
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26 septembre 2013 at 21:00
Cuné a écrit : « (Et maintenant je me demande si Erzie ne faisait pas plutôt allusion au titre sous la couv…) »
Et Erzie répond : « Tu m’insultes, là, non ? » 😉
Le titre sur la couverture m’a fait un léger pincement au cœur mais non, Madâââme, je parlais bien du titre de ton billet ! Ce film, c’est mon enfance, il était culte chez nous.
(et moi, j’étais persuadée d’être le portrait craché de la petite fille obèse chez les Groseille – ce que je vivais assez mal, hein. Depuis, je me suis remise de ce traumatisme imaginaire)
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27 septembre 2013 at 05:15
Loin de moi l’idée de t’insulter, et Groseille, toi ? N’imp ! 🙂
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26 septembre 2013 at 21:38
J’ai déjà frétillé d’aise à lire le titre de ton billet (j’ai exactement le même réflexe !) alors si je croise ce bouquin…
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27 septembre 2013 at 05:15
J’espère qu’il t’amusera ! 🙂
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